vendredi, décembre 29, 2006

Désir



Ca(m)briole de minuit
Flagrant délit d'envie,
en liens, en images sur l'ourlet de vos lèvres.
Désir et contorsion d'intime.
Du bout des doigts, à paumes pleines, comme un brigand en bout de mur épiant l'orgasme,
pour s'incliner au plaisir. Ravie par l'envolée.
écrit par jmpelet

dimanche, septembre 24, 2006

Une toile


La toile d'un parcours de vie...
Parcours juxtaposant, fusionnant tristesse et amour…
Tempêtes et bourrasques, délire de quelques sarcasmes…
Endoloris de tes moutons étourdis, le glas sévanouit…
Appesanti de lourds nuages, il "rustine" leurs présages…
Tes souhaits assoupis quémandent un céleste circuit…
Un azur mélodieux paré de vux les plus savoureux…
Ta musique colorée rayonne sous un soleil pudique…
Le pinceau de ta toile chante tes écrits, tes non-dits…
Sur les teintes de ta poésie, il danse la rime de la vie…
CHRISTY

http://chrys.blogspace.fr/presentation.php

jeudi, septembre 14, 2006

J'ai...


J'ai aimé être de tes amis
alors que le réel t'avait fuit
j'ai connu le flou des errances
au regard de ta violence

J'avais une amie

J'ai rêvé de tes formes divines
J'ai fuit ces talents que tu m'envies !!
J'ai aimé te voir regardé dans mes doutes
J'ai prétendu me perdre sur ces routes

J'aimerais que toi !!

J'ai souhaité te livrer toute ma douceur
Pour mieux te sentir vibrante!
J'ai cédé à toute peur de te perdre

dans l'abstinence

j'aimerais rien que toi!!!

J'ai encore des mots à te dire
J'ai encore de la fantaisie pour te voir rire
J'ai envié tous ces regards sur toi
J'ai pardonné tes oublis

j'aimerais toujours que toi !

J'ai côtoyé tant de fois ce désespoir
j'ai mal à comprendre que je reste là
si près d'un apaisant rivage
Pour t'y voir t'ébattre matin et soir

J’aimerais tout cela !!

J'ai des mots pour te vêtir
Ceux que l'on ne peut que subvenir
Si j'avais le temps de les vivre

non sans souvenirs

J’avais que toi !!

J'aimerais encore te revoir
Te voir sourire sous les mots qui n'ont
Plus rien à vivre

J’avais une amie!

j'ai ....!
écrit par jmpelet

vendredi, septembre 01, 2006

malédiction

Nous t'avons fuit pour mieux te dominer
Nous t'avons pris ce que tu avais à donner
Pour te laisser que tes larmes par oubli!


Tes trésors ne font que nous rendre plus aigris
Sans cesse une malédiction
anime notre appréhension
Pour que nous en oublions ta possession


Violente Nature
seras-tu éternelle?

seras-tu nous échapper?

tu caches en toi

les plus belles merveilles

Tu ensorcelles de tes charmes
de tes couleurs, de ton mystère
Fragile comme l'innocence

Seras-tu enfin libre de nos entraves?
De notre folie s
i imprévisible,
si mesquine!!

Seras-tu demain nous apporter
encore ton abondance?
Convaincre et te comprendre
au-delà des mots

Ton regard se noie dans l'amertume
dans la colère, dans l'oubli
si loin des mers noircies
de nos devoirs

écrit par jmpelet

Memory of the dead


Wealthy vampires
With the cold hands of executioners
Execute Executive decisions
Determined to destroy
What 1 million women, children, and men 1910
Died, drowning in the rage of battle.
Mothers, half naked Infants clutching thier necks
Running frantically
Tripping over the bodies of their sons
Teeth gnashing
Swinging machete
Spitting blood and mud, and screaming: Land, and liberty!
Were erased.
Buried and burned
Along with the memory of the dead
Along with the ejido.
With the smooth stroke of a pen
And with the ghost of nixon present in their eyes
They smiled.
And pronounced the omnipitence
Of the free market
The profits of profit
Extending the scurge of columbus and pizarro
The freedom to buy things you can never afford
The freedom for indians to buy corn that once
flourished overgrown in their backyards
The freedom to die of curable disease
The freedom to watch their children's stomachs swell
And burst The freedom to starve and die
Without land Or liberty
But ramona, with eyes of obsidian
Peering through her blood and sweat drenched mask
Darding, unseen Changing direction
with the swiftness of a bird
Through the shanty's of the canyon
With every coyote, every insect, every phylum of life
Urging her, propelling her forward.
The leaves and branches of the forest
Part for miles, clearing her path
The voices and screams of the dead beneathe her feet
Echo in the deepest chasm of her soul
Hurling her, toward the city
History surging through her veins
Pulsing through her fingers
Hurling her, towards the city
She caresses her trigger
And the words of magome fulfil her being
And with each shot she fires, she affirms her movement
Saying: Enough! enough! No! I will see my own blood flow
Before you take my land...
or my liberty
écrit par jmpelet

Homo Sapiens

Par nécessité !
Ils apprennent à dominer le monde

Par choix!
Ils cherchent l'insaisissable vérité

Par nationalisme
Ils se maudissent derrière leurs bannières

Par amour
Ils se cherchent dans l'immensité virtuel


Par peur !
Ils évangélisent pour se convaincre de leur bonne foi

Par envie
Ils dépensent pour posséder le tout
de ce monde consommé

Par stupidité
Ils perdent du temps, beaucoup de temps
à espérer atteindre la Liberté !

Par orgueil !
Ils aiment à parader pour se convaincre de leur force

Par idéal
Ils améliorent sans cesse

pour espérer contrôler la vie
Par ennui
Ils s'enivrent autour d'événements préfabriqués
Par arrogance

ils aiment à se croire différents des autres
Par la loi !
Ils sont là partout,
Passionnément investis
D'un désir insatiable
Qui les détruit...
Ils... sans conscience!!!
Ils... sans avenir!!!
Ils... sans révolte!!!

Ils qui seront

tout abandonner
demain pour
l' amour de la Vie ?
écrit par jmpelet

le déserteur


Il y a huit ans que je suis dans l'armée
sans avoir jamais eu mon congé
l'envie m'a pris de déserter la guerre
de retourner au pays sans congé
dans mon chemin j'ai fait une triste rencontre
trois grenadiers m'ont pris, m'ont emmené
et m'ont méchamment attaché les menottes
droit en prison ils m'ont mené
ah faut-il donc pour l'amour d'une brune
être réduit à ces maudits cachots
être réduit à coucher sur la paille
manger du pain noir et ne boire que de l'eau
mais quand la belle entendit ces paroles
mais nuit et jour va trouver son amant
en lui disant " prends courage mon amour
elle te sauvera celle qui t'aime tant
j'irais parler mais à ton capitaine
mais aussi à ton commandant
en leur disant d'adoucir tes peines
pour de l’argent rendez-moi mon amant"
Gardes la belle ton or et ton argent
pour faire la guerre ils en ont à leur plaisir
demain je dois passer en conseil de guerre
et puis après on me fera mourir
celui qui me tuera sera mon camarade.
Ll me bandera les yeux avec un mouchoir bleu
il me fera mourir sans trop me faire souffrir
Eh soldats de mon pays n'en dites rien à ma mère
mais dites-lui plutôt que je suis parti là-bas
dans un beau régiment que j'y serai pour longtemps.

Un doux rêveur jmpelet

les chants du crépuscule

Puisque j’ai mis ma lèvre à ta coupe encore pleine,
Puisque j’ai dans tes mains posé mon front pâli,
Puisque j’ai respiré parfois la douce haleine
De ton âme, parfum dans l’ombre enseveli,
Puisqu’il me fut donné de t’entendre me dire
Les mots où se répand le cœur mystérieux,
Puisque j’ai vu pleurer, puisque j’ai vu sourire
Ta bouche sur ma bouche et tes yeux sur mes yeux;
Puisque j’ai vu briller sur ma tête ravie
Un rayon de ton astre, hélas ! voilé toujours,
Puisque j’ai vu tomber dans l’onde de ma vie
Une feuille de rose arrachée à tes jours,
Je puis maintenant dire aux rapides années : — Passez !
passez toujours ! je n’ai plus à vieillir !
Allez-vous-en avec vos fleurs toutes fanées;
J’ai dans l’âme une fleur que nul ne peut cueillir !
Votre aile en le heurtant ne fera rien répandre
Du vase où je m’abreuve et que j’ai bien rempli.
Mon âme a plus de feu que vous n’avez de cendre !
Mon âme a plus d’amour que vous n’avez d’oubli !

écrit par Victor Hugo

Lilac wine


I lost myself on a cool damp night
Gave myself in that misty light
Was hypnotized by a strange delight
Under a lilac tree
I made wine from the lilac tree

Put my heart in its recipe
It makes me see what I want to see...
And be what I want to be
When I think more than I want to think

Do things I never should do
I drink much more that I ought to drink
Because I brings me back you...
Lilac wine is sweet and heady, like my love

Lilac wine, I feel unsteady, like my love
Listen to me... I cannot see clearly
Isn't that she coming to me nearly here ?
Lilac wine is sweet and heady where's my love ?

Lilac wine, I feel unsteady, where's my love ?
Listen to me, why is everything so hazy ?
Isn't that she, or am I just going crazy, dear ?
Lilac Wine, I feel unready for my love...


de Grace/Jeff Buckley

mardi, juin 06, 2006

hymne à la beauté


Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,Ô Beauté ?
ton regard infernal et divin,Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine !
-L'univers moins hideux et les instants moins lourds.

écrit par Charles Baudelaire (extrait des Fleurs du Mal)

lundi, juin 05, 2006

Solitude

Si tôt l'ennui
m'envahit
J'écarte le rideau de ma fenêtre
En haut le ciel est gris rayé d'une éternelle pluie.
En bas la rue où dans une brume de suie
Des ombres vont, glissant parmi les flaques d'eau.
Je regarde sans voir fouillant ma mémoire

Et machinalement sur la vitre ternie
Je fais de la calligraphie.
Sortons, peut-être verrais-je du nouveau.
Pas de livres parus.

J'observe en dérision
Quelques passants amorphes.
Personne pour rompre le silence

Des visages anonymes, de la boue, et l'averse toujours...
Là vient le soir et le néon translucide
Je rentre à pas lourds...
Je mange, je m'allonge, et je lis.

Rien ne me passionne...
j'essaie de m'endormir!.
- Minuit.
Une heure. Chacun dort.
Le silence pesant de la nuit m'envahit !!

Je n'arrive pas à dormir
je m'ennuie !
je contemple ton regard

Solitude!
si veine, sans égard
espiègle cafard !

Je te consume
pour t'oublier dans
ma tour d'ivoire

oh Solitude!!

écrit par jmpelet










m.o.t.h.e.r


M comme le miracle de la vie naissant de ton corps
O comme l'ouverture de l'esprit vers les autres
T comme la tenacité dans l'attente de jours meilleurs
H comme hier qui fut si éphémère
E comme l'envie d'écouter et de comprendre
R comme la recherche de l'épanouissement dans l'amour
Mère nourricière
sans toi nous sommes rien
nous sommes le Néant

écrit par jmpelet

jeudi, mai 18, 2006

toi qui..


Toi qui...
Je t'ai imaginée
dans les illusions d'un monde
hitech sans humanité.
Je t'ai rêvée pour un instant
pour une nuit, pour une éternité
Toi qui...
j'ai besoin de t'aimer
de te sentir là près de moi
fragile et docile
libre et insoumise
adoucie par
mes mots tragiques

Toi qui.....
j'ai besoin de te contempler
par tous les temps
sans que jamais ne cesse la passion
ni ton regard sur ma vie si fragile
Toi qui...
je te rêve si loin, dans ce lieu
oublié des hommes
là où je m'enivre
de tes douceurs, de ta beauté
Toi qui...
sois mon opium pour

fuir le mal de vivre
de ce monde
mécanique, plastique ?
Toi qui...

Viens, sois près de moi !!

écrit par jmpelet

Andalouse

Si le soleil brille
dans les méandres de mon âme

C'est grâce à toi femme du soleil
qui fait renaître pour un profane

Des envies que le présent
A perdu et oublié.

Alors ne me condamne pas
A vagabonder amèrement
Sans direction, sans racine
Et sans la flamme

Que l'amour donne à ceux
Que la passion anime


Pour un bref instant
Et pour l'éternité


femme du soleil
Enivres moi de tes ambres
que je m'oublie à jamais

dans ta douce séduction animale

femme du soleil
sans toi je n'aspire à rien
femme aux multiples visages
tu es cette douce mélodie
de la vie, sans abstinance

écrit par jmpelet





lundi, avril 17, 2006

icône


J'aurais aimé être un artiste
pour t'imager Idéale

pouvoir contempler
ton mystère
te dessiner dans tes désirs
te donner vie
et vivre ta plénitude

J'aurais aimé te peindre dans ta peine,
dans ta joie
te sculpter dans tes formes si douces
Pouvoir remplir ton coeur si tendre

De mes plus ivres sentiments

J'aurais voulu être ce poète,

rien que pour cet instant
si près de ton corps
te contempler pour l'éternité

J'aurais voulu de toi plus
qu'une veine image irréelle,

idéale
J'aimerais le temps

de te créer un jour
au-delà des mots
fuyante Icône

écrit par jmpelet






Faits d'hiver


Ce matin, en me réveillant
je vois cette blancheur
tombant comme une caresse
sur la campagne endormie

refrain

manteau d'hiver,
plaisir du temps
oublié par moment
qui nous revient
de temps en temps !
hélas
de temps en temps

✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜

Ce matin par ma fenêtre
je regarde des enfants
retrouvant des jeux que
les saisons avait fait
naître il y a si longtemps

refrain
manteau d'hiver,
illusion du temps
qui nous revient
de temps en temps
hélas
plus trop souvent!

Ce matin,
titubant
Je contemple l'hiver
tombant tel l'ivresse éthilique
sur la ville endormie


refrain
manteau d'hiver,
repos du temps
qui nous
revient de temps
en temps

ce matin hésitant
je comtemple
ces paysages d'hiver
oublié de nos regards
qui s'éloignent
pour trop lontemps

maux d'hiver !!
un fait divers
depuis quelque temps
et pour longtemps

écrit par jmpelet

utopia

Je rêve d'une autre planète
Née de la frustration
et de la peur

Je rêve d'une autre vie faite d'aventure

De plaisir et d'amitié

Je rêve de cette terre ou chacun vivrait heureux
parmi les siens

Je rêve d'harmonie comme de justice
sans contrainte, sans excès.

Je rêve d'une résonance lointaine,

d'une île perdue dans l'océan des Anthems
Je rêve de ce matin sans lendemain
ou le temps n'aurait pas de fin.


Je rêve d'un amour authentique loin
du profit et des mesquineries lubriques

Je rêve d'un autre monde pour le meilleur
et pour le pire

Je rêve d'une éternité sans frontière
d'une vie

qui ne connaitrait
ni haine, ni la peur, ni la faim,

ni les guerres!

je te rêve tendre utopie immortelle!

écrit par jmpelet






samedi, avril 08, 2006

Mallachd

THAINIG dithis a mach
A Cathrach Neobh,
Fear agus bean,
A dheanadh nan ōisnean.
Mallaich dha na beana bur-shuileach,

Mallaich dha na feara fur-shuileach,
Mallaich dha na ceithir saighde, guineach, guid,
Dh’ fhaodadh a bhi ’n aorabh duine ’s bruid.

THERE came two out

From the City of Heaven,

A man and a woman,

To make the 'ōisnean.'
Curses on the blear-eyed women,

Curses on the sharp-eyed men,

Curses on the four venomous arrows of disease,

That may be in the constitution of man and beast

texte sacré celte

un destin


Aujourd'hui encore
je prends ma guitare et
je m'en vais sur ces routes
là où mes rêves de
la liberté m'accompagnent
refrain
Car être musicien est un destin !
Oui un destin!!!!!!

couplet
je conte selon vos attentes
les facéties de ceux qui vous mentent
Les regards de ces rues
ne me font pas d’offenses

refrain
la vie d' artiste est un destin !!!
sans grand lendemain !!!

couplet
Je galère et j'inonde
mon esprit d'espoirs futiles !!

Homme sans renom, artiste sans gloire !!!

juste un paysage sans chagrins
refrain
N'être rien, ni personne est un destin
sans lendemain

solo harmonica sur grille G-C-D-am-em

couplet
Pour vous distraire
je me déguise, je trompe l'ennui

de vos esprits mutins
je ne sais rien faire d'autre
pour du pain
refrain
la vie d'artiste est sans malice!!!
pas un destin!!!!

couplet
Je ne veux pas errer comme un damné

sur des avenues surpeuplées
à vivre caché de grattes-papiers
grisés d'obscénités à bon marché


refrain
Etre artiste est un destin,
pas un show de TF1

pont
vivez votre révolte!
chantez votre colère
chantez vos amours, sortez de l'ombre !
c'est votre liberté au bout du compte

couplet
Quand l'idée me vient

je prend mon carnet de voyage
et j'écris quelques
mots futiles
pour oublier ma solitude

refrain
être poète est un rêve sans fin !!!
un pauvre destin!!!

couplet
rêveur

je m'en vais
là ou le vent me conduit,

errer sur le chemin
des maudits

refrain
L'errance est un destin,
mon unique destin!!

coda

J’entends une voix s’écrier !
prends garde!
la mort viendra

te prendre sur le bord du chemin
quel destin!!
mais pas la fin!!

pas une fin !!
non pas sans un destin
!!

écrit par jmpelet







fatalité


Suis-je libre ?

Suis-je la vie ?
suis-je la fatalité?
Suis-je l'utilité ?

suis-je l'éternité?
Que faire ?
Attendre la mort !
Attendre la révolte!
Suis-je qu'illusion ?
Un caprice du temps !
suis-je confusion ?
une pensée d'élocution!
donnez-moi l'absolution !

écrit par jmpelet


lundi, mars 27, 2006

l'ombre du temps

L’ombre du temps enduit les mots d'éternité
Elle trahit de faux espoir

L’ombre du temps nous trompe
comme un vil mirage
Elle nous lamine comme la rouille
sans amertume


L’ombre du temps traverse de vastes étendues de solitude

Pour se morfondre sur un visage vieillissant

L’ombre du temps côtoie le long périple de la vie

pour n'être que désir et sacrifice
maudite soit-elle!!!


L'ombre du temps
Est si loin de que je ne puisse la voir?
l'éternité n'est plus à vendre
Ni les mots illusoires
Ni le regard du passé


Ombre du temps
est-tu si loin que je ne puisse
t'effacer par le jeu du clavier
par le jeu des mots
par le jeu des sens

Ombre du temps
tu n'est qu'illusion , celle
de ce miroir qui te reflète
dans notre détresse

Ombre du temps
tu nous emportes loin
de nos rêves, de nos blessures
et si loin de
nos souvenir pour n'y laisser que
des regrets

écrit par jmpelet

















mardi, mars 21, 2006

une vie sans...


Un regard qui envie,
une vie qui se déchire
les mots qui s'égarent dans l'inutile
s'ouvrir à tout pour mieux se détruire

Peux-on
vivre sans la peur des autres?
peux-on se regarder en face
quand tout devient chaotique?

J'aimerais le plaisir
de ressentir mes sens se réveiller

de cette immonde servitude

qui tue la vie,
qui inonde ces regards

Tout est absurde, ma vie, mes rêves,
mes colères
pourquoi les fuir ?
vous avez hontes d'exister

fétides entrailles de mon âme
vous me faites taire

ce qu'il y a de moi !!
mon inoncence, ma tendresse,

mon regard, mon corps
regardez-moi ! j'existe !


écrit par jmpelet

citation


A force de chercher ailleurs quelque chose qui n'existe que dans son imagination, on finit par devenir aveugle à ce qui nous entoure là dans le présent de l'instant

écrit par jmpelet

mardi, mars 07, 2006

Tant de....

Tant d'êtres qui envient,
Tant de vies qui se déchirent

Tant de mots qui s'égarent dans le futile
Tant d'idéaux pour tant de déceptions!
Ou se trouve la ferveur que j'aimerais ressentir
devant tant de trahison?

Je voudrais disparaître si loin pour
ne plus ressentir ce vide !
Tout est cynique, vos ambitions, vos rêves, vos regards
Ou vous cachez-vous
fétides êtres sans âme?
Pourquoi vous terrez comme des insectes nuisibles
ravageant tous les espaces de vos maux , de vos
idées, de vos mensonges, de vos regrets.
ayez le courage de rêver, de changer!
Il y a tant à vivre !
Il y a tant à observer, à comprendre!
Il y a tant de rêves à réaliser!
et je fuis honte à moi honte à vous


Loupgris

mélancolie


Après toutes ces absences
Avant que ton reflet disparaisse
pendant que la mélancolie agit
J'aimerais avoir pu tout te dire!!

✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜

Après toutes ces errances et
N'avoir vécu que violence
Après tant d'oublis égoïstes dans
Des lieux épisodiques
Je te revois là dans
ces souvenirs !

✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜

Après ces heures à passer seul
dans l'ombre d'une mémoire
à jamais en deuil
de vivre dans le désir de
ce que j'aurais du t'écrire
pour t'éblouir.

✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜✜

Je n'ai plus que ton souvenir
Je sais que tu m'attends
Quelque part là-bas
Dans une autre vie là ou
Les mots n'ont pas
De regrets que l'amour trahit.

écrit par jmpelet

vendredi, janvier 20, 2006

Le jour ou..


Est-ce le jour enfin arrivé, la surface de la terre va-t-elle changé,
j'ai cru percevoir une vibration

comme si le monde était en mouvement.
Allons donc, ce serait naïf d'espérer qu'un nouveau monde vienne t'a éclore aujourd'hui le 20 janvier 2006.

Dommage pour ce vieux monde en décadence.
Mince j'ai encore rêver, dure de revoir

cette fichu planète de flippés et
d'allumés en proie à leurs délires apocalyptiques.
Yerk merci à vous tous
jmpelet

jeudi, janvier 19, 2006

Une journée sans haine

En ce jour du 19, tout semble aller pour le mieux,
je suis accepté pour mon examen de latin,
j'ai la chance d'avoir des amis sympatiques
.
tout va pour le mieux.
Et pourtant on trouve toujours le moyen d'être insatisfait.

C'est notre nature d'être humain , que pouvons nous faire rien. On essaie et pourtant nous sommes les esclaves de nos pulsions enfouies si profondément et qui ne demande qu'à faire surface
pour nous rendre plus fous à tout instant.
Peut-on être respecter par tous sans mesquinerie,

sans sous-entendu idéologique.

Bof j'en doute à demain mon blog
j'espère être plus inspiré pauvre de moi
pauvres de vous !
jmpelet

lundi, janvier 09, 2006

La liberté sur internet


Mon premier message de l'année sur mon nouveau blog
Que pensez de la situation du web à l'heure actuelle? Sommes-nous libre de nous exprimer sur tout ce qui doit observé. Il semble que de pouvoir diffuser sans filtre et sans tricherie soit devenu impossible dans le monde des médias actuels. Un univers contrôlé par des intérêts politiques et économiques de dominants, et non pour monsieur tout le monde, les sans-grades.
Ici je m'exprime, c'est mon blog, c'est mon domaine, la liberté, c' est génial.
je suis l'exilé, le poète, le fou, le taciturne
jmpelet